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Dossier

Thème : L'écologie et l'environnement

Par :  Ariana Acosta, Valeria Avendaño, María Camila Gómez et Mariana Marulanda.

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Dossier 

Thème : L'écologie et l'environnement

Par : Ariana Acosta, Maria Camila Gomez, Mariana Marulanda et Valeria Avendaño

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PRÉSENTATION DE L'ARTICLE

 

Bonjour à tous, nous espérons que vous allez très bien, comme vous pouvez le voir aujourd'hui mon groupe et moi allons vous parler d'un article très intéressant sur les coraux et ce qui se passe avec eux.Ce groupe est composé de Maria Camila, Mariana, Valeria et moi-même, Ariana.
 
Ensuite, je vais vous montrer l'ordre du jour de ce que nous allons aborder lors de cette présentation. 

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Tout d'abord, je vais vous parler un peu de l'article, qui en est l'auteur et d'autres informations importantes, cette partie sera faite par moi, Ariana Acosta. Ensuite, j'expliquerai un peu certains vocabulaires qui seront très importants pour la bonne compréhension de cette présentation, plus tard, Camila nous fera un résumé clair de l'article. La description, l'explication et l'examen seront en charge de notre collègue Valeria et enfin, Mariana nous fera une réflexion de tout ce que je viens de mentionner.

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Le titre de l'article : Les coraux nous parlent, et ils nous en disent beaucoup sur eux.
Auteur : Isabelle Côté
Date de publication : Janvier 2020
Où a-t-il été publié ? : The Conversation

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MOTS SPÉCIALISÉS​

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Corail, coraux : Animal marin.


Récif : Rochers au raz de la surface.


Vague : Onde sur l’eau.


Sable : Sédiments formés de petits grains.


Mots inconnus
Débris : Morceaux brisés.


Claquement : Bruit fort et sec.


Crépitement : Bruit sec et répété.


Éventail : Choix (Une gamme de, une palette de, types de…)


Déclin des récifs coralliens : Les coraux disparaissent.


Crevette : Crustacé.


Griffe : Ongle des animaux.


Décibel : unité de puissance sonore.


Crevasse : Fente profonde.

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RÉSUMÉ DE L'ARTICLE​

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Les coraux nous parlent, et ils nous en disent beaucoup sur eux.

Cet article a été publié en janvier 2020 dans le journal The Conversation, un journal qui propose des commentaires et des débats éclairés sur les problèmes qui affectent notre monde. Son auteur est Isabelle Côté, professeure d'écologie marine à l'Université Simon Fraser.

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Ceci traite d'une courte vidéo sur le sujet principal de l'article pour comprendre un peu mieux de quoi parle l'auteur, c'est très court.

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C'est le blanchissement des coraux qui se produit en raison du manque de calcium dans les coraux dû à l'acidification des océans.

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Cet article mentionne principalement l'état actuel des récifs coralliens dans nos océans. Pour commencer à parler un peu plus de ce que détaille le texte, il est important de mentionner auparavant que la recherche objet de l’article a été menée dans le but de savoir quels sons étaient présents dans les récifs, c'est lorsqu'ils ont mis en contraste ces sons provenant de différents récifs que le problème se leva à la lumière.

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Ainsi, le texte commence par nous parler des bruits des récifs en général, des crépitements comme lorsqu'on frit quelque chose ou encore lorsqu'on verse du lait dans un verre, les bruits d'animaux sont également présents. C'est le point numéro deux du texte, que le poisson peut chanter, c'est une expression symbolique pour faire référence aux sons que font les poissons lorsqu'ils se battent ou courtisent un couple ; qui sont des sons similaires à ceux des oiseaux lorsqu'ils sont dans ces mêmes situations.

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Enfin, le texte montre que les coraux sont aujourd'hui très détériorés par le réchauffement climatique et l'acidification des océans, et que désormais les coraux sont très silencieux. Cela ne semblait pas très important jusqu'à ce qu'ils remarquent que les larves de poissons peuvent entendre et rechercher des récifs qui ont des sons plus "sains".

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C'est pourquoi il y a de moins en moins d'espèces sur les récifs et les coraux meurent beaucoup plus vite. Pour confirmer que les larves sont capables d'entendre, l'auteur du texte a placé des haut-parleurs avec des sons de récif sains sur des récifs détériorés et ceux-ci, étonnamment, ont attiré de nombreuses nouvelles espèces. 

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Ainsi petit à petit le corail a retrouvé sa vitalité. Cependant, cela ne peut se faire qu'à petite échelle et l'idée proposée par l'auteur est de réduire les émissions de dioxyde de carbone et d'aider au réchauffement climatique ou très bientôt il n'y aura plus de coraux.

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A titre d'exemple, le texte mentionne que la barrière de corail australienne, la plus grande du monde, est d’un 40% moins calcifiée qu'il y a 30 ans.

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DESCRIPTION, EXPLICATION ET OPINION

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Il y a des sentiments.
On peut dire que l’article est joli. C’est joli parce que l’auteur parle du contenu d’une manière très poétique, très profonde. Aussi, l’auteur est une femme, et elle est chercheuse, donc quand on est en train de lire l’article, on peut sentir ou assimiler des émotionnes, des sentiments de respect, d’admiration, d’enthousiasme, de vénération aux coraux, aux animaux, et en général, à tous les animaux marins, à tous les animaux qui habitent à l’océan. 

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Analogies présentes dans l’article
Quand je dis particulier, je veux dire un peu bizarre, un peu comique, parce que le contexte des analogies, c'est complètement différent au contexte de l’article et au contexte de l’océan en général. Comme cette analogie ici qui dit : …. Au-delà du bruit de l’eau, il y a des sons plus subtils. Pour certaines personnes, ces faibles bruits ressemblent à un claquement ou un crépitement, comme ce que font les céréales sur lesquelles on verse du lait au déjeuner. Pour d’autres, ils rappellent le son du bacon qui frit. 

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Les sons émis par l’océan
Le texte se concentre beaucoup sur les sons que les poissons émettent, que les invertébrés émettent, que tout l’océan émet. C’est aussi curieux quand l’auteur a dit que par exemple, les poissons des récifs coralliens produisent une large gamme des bruits de basse fréquence, et d’autre part, les sons de haute fréquence sont produits par des invertébrés. Donc, ça, c'est super, trop cool.

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L’évolution de données scientifiques
Il y a un petit paragraphe, et le titre du paragraphe est “Le son qui séduit les larves” et c’est très intéressant parce que le texte indique qu'au début de leur vie, la plupart des animaux de récifs coralliens sont de minuscules larves. Durant cette période, les larves se déplacent de quelques mètres à des centaines de kilomètres de leur lieu de naissance. Pour ces animaux qui se dispersent sur de longues distances, la capacité à trouver un nouveau foyer dans l’immensité de l’océan est essentielle. 

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Le texte indique aussi un signe d’évolution dans le domaine scientifique et les recherches, quand l'auteur dit, par exemple, qu’il y a 30 ans, les scientifiques pensaient que les larves de poissons étaient transportées au gré des courants. Donc, s’installer dans un nouveau lieu était en grande partie une question de chance. Aujourd’hui, nous en savons plus. Les larves de poissons de récif sont capables de voir, entendre et sentir l’habitat du récif, et de nager de manière très efficace vers celui-ci. 

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La situation actuelle des récifs coralliens
Tristement, l’article mentionne aussi la situation actuelle des récifs coralliens comme celle de la Grande Barrière de Corail et il dit que les récifs coralliens australiens dégradés sont maintenant plus silencieux et moins attrayants pour les larves qui cherchent à se fixer, qui cherchent un nouveau lieu.

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Une solution prometteuse
Finalement, l’article nous propose qu’il faut utiliser des sons, ces sons naturels pour attirer les poissons vers les récifs dégradés.

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RFLEXION GENERALE

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L’une des choses qui influencent négativement l’océan est le changement climatique et donc les récifs coralliens, parce que l’eau chaude ne peut pas contenir l'oxygène comme l'eau froide, et c’est pourquoi, à mesure que les océans se réchauffent, les niveaux d'oxygène diminuent. Par conséquent, les poissons dépendant de l'oxygène grandiront plus lentement, ils diminueront de taille et se reproduiront moins.

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La question des récifs coralliens est très importante, parce qu’un quart de toute la vie marine dépend des récifs coralliens pour obtenir nourriture et abri.

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Le récif corallien apporte aussi de la protection du côtier contre les forts coups des vagues et les revenus du tourisme et de la pêche.

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Notre avis sur l’enseignement
Nous pensons que comme futurs enseignants, nous pouvons utiliser un autre langage pour réfléchir à la manière dont nous influençons le changement climatique et comment cela influence le déclin des récifs coralliens. De cette façon, nous pouvons développer de nouvelles formes de prise de conscience pour le soin de l'environnement.

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Nous croyons que c’est l’importance d’apprendre une autre langue, parce que cela nous permet d’avoir accès à l’information et d’acquérir de nouvelles connaissances pour augmenter notre vocabulaire. 

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